Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

l'œuvre de la semaine - Page 15

  • L'œuvre de la semaine (254) : autoportrait au triangle blanc

    Vignette 714.jpg

    N° d'inv. 714. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    L'œuvre présentée cette semaine appartient à la série des portraits peints par Yves Juhel entre août et septembre 2002. Une trentaine de visages, représentés à la gouache sur des feuilles au format 65 x 50, avec quelques éléments récurrents, comme ces plumes que l'ont retrouvera sur des dizaines d'autres œuvres.

    Une seule œuvre d'Yves Juhel peut être considérée à 100 % comme un autoportrait. C'est celle que nous avons déjà présentée sur ce blog, identifiée sous le N° 672, et peinte entre les 17 et 26 août 2002. Pourtant, quelques autres sont clairement le reflet de l'artiste. Il y a d'abord la N° 712, peinte du 26 août au 8 septembre de la même année. Et puis il y a celle-ci, quelque peu mystérieuse, avec son triangle blanc masquant le visage, sans yeux, sans nez, sans bouche. La forme du visage semble correspondre à celle du peintre, et les dates qui apparaissent collent avec les autres représentations de la même veine (28 août, 31 août et 7 septembre). 

    Le plumet est ici présent, pendant sur le côté. Sa noirceur d'encre tranche avec le visage bleuté et la chevelure, très dilués. Une encre que l'artiste a utilisée pour signer son œuvre.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (253) : animal dodu

    Vignette 304.jpg

    N° d'inv. 304. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    2001, l'année du grand bestiaire d'Yves Juhel... Des animaux de toutes sortes, peints dans toutes les dimensions. Et certains en grands formats, comme celui que nous présentons cette semaine, représenté sur une toile de 160x200. 

    Cet animal est difficile à identifier. Est-ce une vache ? Ou un cheval plutôt bien portant ? Un autre tableau, peint au même moment (N° 33), dans ce même rouge foncé, pourrait laisser penser qu'il s'agit d'un équidé. Mais aucune certitude. 

    Ce tableau est signé au recto. Au verso, deux dates sont inscrites : les 9 et 11 septembre 2001.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (252) : les arbres de glace

    Vignette 121.jpg

    N° d'inv. 121. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Ni date, ni signature, pour ce petit paysage (16x24). Mais aucun doute : cette huile sur toile a bien été peinte en 1997 par Yves Juhel. Pour s'en convaincre, il suffit de se pencher sur sa grande série des paysages de petit format, et notamment ceux inventoriés sous les numéros 111 et 118

    On y retrouve ces arbres, sur l'horizon. Tantôt en flammes, illuminés, en feuilles ou nus, ici, ils semblent de glace, couverts d'une gangue de givre, dans un paysage où ciel et terre se mêlent dans le même gris.

    Ce petit tableau a été encadré par l'artiste (19,5x27,5).

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (251) : un singe en noir et blanc

    Vignette 552.jpg

    N° d'inv. 552. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    La vaste série animalière peinte par Yves Juhel durant l'été 2001 se compose de plusieurs sous-séries, à l'image de celle consacrée aux singes. Sept œuvres, huiles et gouaches, peintes en quelques jours, entre le 10 et le 14, dont une grande partie sur cette seule et unique dernière journée. C'est le cas de sept jolie gouache, très diluée, permettant de dresser un portrait de l'animal, de profil, tout en nuances, du noir au blanc. Une œuvre peinte sur une feuille de papier au format 65x50.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (250) : visage lunaire

    Vignette 229.jpg

    N° d'inv. 229. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    En avril 1996, Yves Juhel passe au fusain, le temps de quelques études.    Avec, du 5 au 13, une petite série d'une douzaine de portraits, dont est tiré le dessin que nous présentons cette semaine. Un dessin réalisé sur une feuille de 65x50, le 7 avril, comme indiqué dans le coin inférieur gauche, au recto, au-dessus de la signature.

    Comme pour les dessins répertoriés sous les N° 224 et 228, le visage est un brin énigmatique, inquiétant, voire fantastique. Sa rondeur, presque pouponne, lui donne ici un aspect lunaire, amplifié par une expression neutre et une trinité yeux-nez-bouche à peine esquissée.

    O. D.